Rouillé par le temps qui passe
Usé, fatigué, mémoires du passé,
Il est là,
Tiraillé mais inerte,
Portant les stigmates des forces exercées sur lui.
Rien ne le déloge,
Il est et restera
Le point d'amarrage des voyageurs perdus.
Sur le froid de la pierre
Le métal se glace
Le coeur pleure des larmes de sang.
Qu'il soit à jamais
Le refuge des âmes égarées...
Sophie Marion
Sophie Marion
là vous y êtes allé un peu fort sur la retouche!
RépondreSupprimerles hommes rouges qui débordent?
mais le plan est beau.
Yes !
RépondreSupprimerJolie photo !